Donc aux États-Unis, un homme noir, George Floyd meurt suite à une arrestation extrêmement brutale et une manœuvre hautement suspecte : le genou du policier est calé pendant plus de huit minutes sur le cou et non sur le dos de la personne appréhendée, ce qui est manifestement une bavure, très certainement une aubaine pour les démocrates et les mondialistes (Mondialisme, nouvel ordre mondial, gouvernance globale, à ne pas confondre avec mondialisation) et peut-être une mise en scène, car la thèse du crime commandité n’est pas à exclure. Cela ne change d’ailleurs rien aux conséquences.
Comme on l’a vu à Argenteuil récemment, plusieurs nuits d’émeutes et de vandalisme après qu’un jeune crétin s’est tué en faisant du mono-roue sans casque, l’antiracisme ne s’embarrasse jamais de vérité.
Rien ne prouve donc que George Floyd ait été victime d’un crime raciste, mais qui s’en soucie ? des manifestations et des émeutes s’en sont suivi, encouragées et excusées par les gauchistes de toutes obédiences, infiltrées par les antifas financées par George Soros, un “philanthrope” qui, il y a quelques années, a failli mettre la Banque d’Angleterre, donc tout un pays, sur la paille et qui est le premier à admettre qu’un système qui lui laisse toute latitude pour nuire est un système malsain.
Au cours de ces manifestations, des blancs sont passés à tabac, tandis que des commerçants, noirs ou blancs, voient leur magasin saccagé. Depuis des années, nombres de noirs aux États-Unis protestent contre ce mouvement toxique – promouvant le mensonge, la haine et la division – qu’est Black lives matter. Alors qu’un Joe Biden vient de lancer à la face d’un animateur noir : « Vous n’êtes pas vraiment noir si vous ne votez pas pour moi ». Commentaire profondément insultant. Mais il ne faut peut-être pas trop en vouloir à un vieillard aux mains baladeuses (voir sur Youtube les vidéos où ils tripote des petites filles devant des caméras lors d’événements officiels) et au cerveau en capilotade.
Ce qui prouve pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris que les véritables racistes, s’il faut en désigner sont les Démocrates américains, qui réduisent les personnes à une appartenance communautaire. En Europe, cela s’appelle des gauchistes – à ne pas confondre avec “personnes de gauche”.
À un journaliste qui lui a demandé ce qu’on peut faire contre le racisme, l’acteur Morgan Freeman a répondu : « Arrêtez d’en parler, et commencez à me considérer comme une personne plutôt que comme un noir. » C’est une bonne proposition. Il y en aurait d’autres…
Pour revenir à nos moutons noirs antiracistes…
Dans la foulée des émeutes à Minneapolis, une manifestation est autorisée à Bruxelles par ce bêta profond de Philippe Close, bourgmestre de la ville.
L’autorisation est d’une parfaite incohérence avec les messages martelés par les organes de propagande depuis le début de la “pandémie” de covid-19 (mais de cela il ne faut pas s’étonner) ; les guillemets ne sont pas ici pour nier son existence, mais sa gravité, gravité qui a été retirée des critères de l’OMS pour valider l’emploi de ce mot afin de pouvoir manipuler les populations par la peur ; dans quel but ? celui d’enrichir tous ceux qui tirent des avantages financiers des vaccins, c’est-à-dire, entre autres, 80% des sources de financement de l’OMS. Le Journal Le Monde me traiterait de complotiste. Le journal Le Monde a reçu l’année dernière plus de 4 millions d’euros de la fondation Bill and Melinda Gates. Fondation Bill and Melinda Gates qui est le premier bailleur de fonds de l’OMS.
Contrairement à la France, on a pas eu besoin d’auto-attestation à Bruxelles pendant le confinement mais les voitures de police ont patrouillé à 15km/h dans le centre pour nous dire de ne pas “stagner” ni de nous asseoir sur les bancs (la police patrouillait en voiture même dans les parcs), tandis que les marchés à ciel ouvert étaient fermés mais les supermarchés, confinés… ouverts. Tandis qu’on risquait une amende de 250 euros si on rencontrait ses amis, sa famille. Amende illégale, anticonstitutionnelle. Il faut être juge pour se permettre de l’ignorer.
Ce n’étaient pas les raisons d’interdire la manifestation qui manquaient. La manifestation visait donc le “racisme d’état” ou “racisme systémique” (l’invention de concepts permet à ceux qui les brandissent d’avoir toujours raison, selon les recommandations de Schopenhauer, puisqu’on ne peut pas prouver que quelque chose qui n’existe pas… n’existe pas) et contre le “racisme policier”.
Violences et émeutes ont suivi, environ deux heures plus tard, comme tout le monde aurait pu s’y attendre, sauf le bourgmestre Philippe Close trop occupé qu’il était à insinuer que les opposants à l’autorisation de la manifestation étaient forcément suspects ; vous n’avez pas d’arguments ? La calomnie, l’insinuation, ce n’est pas pour les chiens… C’est pour les bourgmestres.
La REUTEUBEUFEU (RTBF) titrait il y a deux jours 37 policiers blessés après la manifestation anti-racisme de Bruxelles: un préavis de grève déposé.
Quand on voit des hooligans, d’origine majoritairement africaine, lancer des projectiles sur des camions de police, il faudrait apparemment continuer à en déduire que la police est raciste. Et non que les hooligans se sentent au-dessus des lois. La police en a quand même interpellé 150 environ.
Cinq minutes de ce qu’il faut appeler “reportage” dans un emploi frelaté, suivis par l’intervention d’une co-organisatrice de la manifestation Mireille Tsheuzi-Robert, qui a droit à la moitié du temps d’antenne sur le sujet. Aucun représentant de la police n’est invité pour contredire celle qui vient devant les caméras nationales revendiquer son appartenance à une race de victimes (les “racisés, comme les appellent les antiracistes qui disent que les races n’existent pas). La priorité reste de culpabiliser les blancs, chez qui le racisme est bien sûr enraciné… à se demander quel masochisme pousse tant de noirs et de nord-africains à rester en Europe.
Ainsi Mireille Tsheuzi-Robert se demande « pourquoi les casseurs cassent-ils » essayant de les comprendre, comme s’ils s’étaient contenté de protester verbalement, et se demande “ce qu’on leur a donné à perdre”. Elle n’a pas le temps ou ne juge pas nécessaire d’expliquer cette formule obscure.
Cette femme d’origine africaine, qui se plaint du racisme, à la connaissance de qui ne viendra jamais l’information suivante : qu’aux ÉTATS-UNIS, un noir court infiniment plus de risques d’être tué par un autre noir que par un blanc. Aux États-Unis, les statistiques ethniques ne sont pas interdites.
La prochaine fois qu’elle sera invitée seule sur un plateau, ce sera pour dénoncer le sexisme, qui rend les femmes invisibles.
Surtout à la télévision.
Peinture d’illustration : Dan Witz